« P. Labro raconte les détails de sa dépression de septembre 1999 à mai 2001 et la manière dont il s’en est sorti. »
C’est arrivé en douce, subrepticement, sournoisement, sans prévenir, une vraie saloperie, une lente et insidieuse pénétration. Je suis l’esclave d’une chose indéfinissable qui est en train de me détruire et je lui obéis sans aucune résistance… »
La dépression nerveuse : ça peut tomber sur n’importe qui, même sur un homme au sommet de la réussite. Philippe Labro revient de l’enfer. Il le dit. Il dit surtout qu’on peut en sortir, que tout le monde peut remonter la pente.