lIne demeure, un parc, délabrés, accrochés au flanc d’une ancienne arrière, où les légendes ont pris plus que leur place. La plus pare, la lus tendre des jeunes filles, cette adorable Anais à peine réelle, née
‘un jeune homme mort et d’une fée, qui vit là, au bord du monde, à son alcon de rochers, dans l’ombre d’une oasis de pins dominant l’éclat ralant des solitudes de la garrigue de Nimes. La fée prisonnière d’un naléfice, et l’antique sorcière qui la garde. Un garçon fidèle et sûr, en mitié comme en amour : « Il a tout pour lui », disent les gens; mais, ce ju’il voudrait tant partager avec quelqu’un, personne qui s’en soucie. Un autre, instable, difficile, décevant, hérissé de défenses et toujours blessé ni beau, ni séduisant, ni bon, ni triche; et dévoré de toutes les soifs errestres. Sait-on pourquoi ce sont ceux-là que le ciel lui-même préfère ?… Et le secret de la source que découvriront peut-être à la lin ceux qui, engagés à fond dans la bataille de leur propre vie, pour ou contre elle auront accepté le risque de se perdre dans l’aventure.