L’écriture est nerveuse, le style vivant et imagé, les transitions habiles d’un épisode à l’autre. Ce sont des scénarios, c’est le « script » d’une série télévisée au rythme bien enlevé, avec de la couleur et du mouvement, avec des premiers rôles et des « troisièmes couteaux ». Avec aussi une documentation complète sur les gens, les mœurs, les décors, les ambiances. Au total, un livre qui se lit comme un roman… feuilleton.
J.D. (Liberté du Calvados)
Un ouvrage écrit d’une plume vive et alerte, un livre qui n’intéresse pas seulement les Normands, mais tous ceux qui souhaitent replacer l’histoire de nos provinces dans un cadre général.
Jacques Levron (Courrier de l’Ouest)
Jamais sans doute la Normandie n’a été contée avec plus de clinquant dans le respect le plus strict de la véracité des dates et des faits. Pour avoir lu une grande partie de tout ce qui s’est écrit sur notre province, j’atteste avoir rarement éprouvé plus de plaisir qu’avec le livre de Michel de Decker.
Roger Parment (Liberté-Dimanche)
Mieux qu’un livre, une chanson de faits et de gestes, dont les historiens ont écrit les paroles depuis longtemps, mais à qui il manquait la musique.
Didier Bureau (Paris-Normandie)
Avec chaleur, ferveur, enthousiasme, Michel de Decker, historien d’élite, homme de savoir, de communication et de charme, fait déferler sur nous, les grands moments de sa Normandie bien-aimée. Il renforce l’adoration de ceux qui la chérissaient déjà et la fait découvrir avec ravissement à ceux qui la connaissaient mal.
Paul Guth (La Voix du Nord)
Michel de Decker écrit la Normandie avec cette délectation de l’érudit qui fait .partager sa gourmandise d’un terroir… et du roman vrai de l’Histoire.
J.-C. C. (Ouest-France)
Tout au long de ce livre bourré d’anecdotes, Michel de Decker semble dialoguer avec son lecteur, établir avec lui cette complicité qui filtre de tous ses écrits.
Raymond Ruffin (Mutualiste RATP)
