« Derrière le petit monde de Don Camillo, disait
Guareschi, il y a ma maison, Parme, la plaine émilienne, le long du Pô, où la passion politique s’exaspère, mais où le peuple pourtant demeure séduisant, généreux, hospitalier et plein d’humour. »
Ces simples personnages du terroir italien, sortis du coeur de Guareschi, allaient très vite acquérir une dimension universelle. Les démêlés de Don Camillo, le curé non-conformiste, et de Peppone, le maire communiste, sont maintenant traduits dans toutes les langues. C’est que lire Don Camillo, c’est goûter la joie de vivre.