Quand Lestat, vampire impie, libertin et suicidaire, s’improvise chanteur de rock pour hurler à la face de l’humanité sa condition de mort vivant, les mortels lui font un triomphe, sans imaginer une seconde qu’il ne leur dit que la vérité.
Mais, avec sa « musique à réveiller les morts », Lestat ne s’est pas seulement fait des ennemis parmi ses frères qui le considèrent comme un traître et sont décidés à la détruire, il a aussi arraché à son sommeil millénaire Akasha, la Mère de tous les vampires, la Reine des Damnés. Akasha qui ne rêve que de régner à nouveau sur les mortels.
Anne Rice commence, il y a une quinzaine d’années, ce qu’elle croyait être « une courte nouvelle sur le thème du vampirisme ». Sa saga des vampires, amorcée dans « Entretien avec un vampire », poursuivie dans « Lestat, le vampire » et dont « La Reine des damnés » constitue le troisième volet est l’un des monuments de la littérature de terreur et de la littérature tout court.