« C’est vrai Prêcheur. J’ai cambriolé une banque parce que j’en avais assez. Des enfants mourant de faim et traînant par-tout.., Des enfants perdus sur les grand-routes par ces années de misère, des enfants dormant dans des bagnoles abandonnées le long des chemins. Je m’étais promis de ne jamais voir mes petits dans le besoin. »