« Une écriture soignée, une description minutieuse de la maladie de l’homme-éléphant, aussi incurable hier qu’aujourd’hui, un appel pressant à la fibre émotionnelle et à la compréhension du lecteur, alliés à la richesse du décor au plan historique :
on tourne la dernière page de « la véritable histoire de Joseph Merrick » non pas en pensant « oh, le pauvre homme » mais « ah, le brave homme » Danielle Bacu André, la Voix du Nord.