Il baissa la tête. Payne était suspendu au-dessous de lui, à trois mètres à peine.
Cartier l’entendait haleter. Il avait réussi à saisir l’extrémité du câble entre ses jambes croisées et il reprenait haleine.
Lancez-moi… une corde.
. murmura-
t-il sur un ton saccadé, comme si chaque
mot
Tui était arraché par la souffrance.
Il soupira :
– Ce câble… est…
effroyablement
glissant.
La gorce de Cartier se serrait. Mieux que Payne, qui ne levait pas la tête, il voyait pourquoi le câble glissait : les mains de payne étaient labourées par’ les fils d’acier et le sang ruisselait sur le filin